22 avril 2005
Cette illusion de bonheur qui me ronge
Fléau pulsatile, attendant, pour me briser, un rare instant de faiblesse ; Tu reviens m'imposer tes doutes, me faire reculer, me ronger jusqu'à l'os... Et pourtant je sais à présent que tes morsures ne seront pas éternelles. J'ai évolué, et heureusement. Sinon je ne serai en train d'étaler mon vague à l'âme; Certains te qualifient de beau, de pur, t'attribuent des vertus de force ; pour moi tu es ce fléau, cette insolence à la dignité, amour je te hais.
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